Le Collectif délinquants solidaires, qui regroupe près de 350 associations, dont la Ligue des droits de l’Homme, appelle à des rassemblements partout en France, les 8, 9 et 10 février.
On assiste depuis plusieurs mois à la recrudescence de cas où la solidarité est considérée comme un délit. Procès de (...) >suite
Et les conséquences de ce durcissement politicien ne se sont pas faites attendre.
Les migrants dits en situation irrégulière sont, selon divers témoignages, mis en situation de ne pouvoir faire valoir aucun droit, au mépris de la loi. Il semblerait même que des consignes émanant du plus haut niveau (...) >suite
Mercredi 13 janvier le Conseil d’Etat examinera en référé le recours formé par onze organisations [1] qui demandent la suspension des deux circulaires du ministre de l’immigration et du ministre de la justice des 20 et 23 novembre dernier. Celles-ci, destinées aux préfets et aux parquets, leur donnent (...) >suite
Les organisations signataires réagissent à la nouvelle circulaire sur l’aide humanitaire aux étrangers en situation irrégulière, présentée par le ministre Eric Besson le 23 novembre dernier.
Lire le courrier adressé à E. Besson >suite
Au moment où le ministre de l’immigration et de l’identité nationale s’apprête à tenter de faire croire aux citoyens que les associations qui défendent les droits des sans-papiers cautionneraient sa circulaire sur le délit de solidarité, la Ligue des droits de l’Homme salue l’avis adopté par la (...) >suite
Les associations signataires s’étonnent de la teneur du communiqué publié par Madame Michèle Alliot-Marie et Monsieur Eric Besson, qui invite ce lundi 23/11 à 14h à la présentation de « l’instruction pénale et la circulaire sur l’aide humanitaire aux étrangers en situation irrégulière issues des échanges (...) >suite
L’Observatoire pour la protection des défenseurs des droits de l’Homme (FIDH -OMCT) publie un rapport d’enquête sur les entraves aux défenseurs des droits des migrants en France, intitulé « Délit de solidarité » : Stigmatisation, répression et intimidation des défenseurs des droits des migrants. >suite
"Vous savez combien l’action de nos associations, largement soutenue par les Français, est essentielle pour la dignité des personnes, quelles que soient leur condition et situation administrative. Aussi, le mode de relation agressif que vous semblez vouloir instaurer avec les associations qui interviennent sur les questions de précarité nous paraît préoccupant." >suite